à PROPOS du LIVRE

 

 
.... lire l'excellente " Préface d'André CHARRAK"     >>>>>>
 
EXTRAIT de  "Le statut de l'imagination" dans l'Emile  ............ p 57 à 69 >>>>>

 

...Eric Zernickci >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>

      

p 67 à 69

.partie du texte d' Eric Zernickel ..prise en dictée vocale sur INTERNET

trouvé via google en page 2 ...en tappant " chiasmatique homme femme" 

 

......C’est l’homme qui veut, car la volonté est puissance virile ; mais c’est la femme qui élève l’homme à la volonté en s’effaçant devant ce qu’elle se borne à laisser apparaître : le chemin de la liberté. La pudeur et l’abnégation de la femme, son acceptation à n’être que l’image sensible de ce qui est au-delà de toute réalité empirique : le monde des valeurs. Aussi bien sa beauté est-elle celle de l’absence : « il n’y a rien de beau que ce qui n’est pas. » Voilà pourquoi Sophie, figure emblématique de la pudeur, et la sagesse qui vient à Émile. Le poison de la séduction qui porte en lui le remède de la vocation morale.

Toutefois cette étrange relation chiasmatique, qui fait que la femme « contre » l’homme de chercher à lui plaire pour « obtenir ce qu’elle consente à le laisser être le plus fort », ne s’achève pas dans la parade amoureuse. Elle trouve, bien au contraire, son prolongement dans le couple, base de « la petite patrie » dans ce constitue la « grande patrie » dans la dialectique du couple en formation c’est la femme qui est du club à la volonté ; dans le couple constituer, c’est elle encore qui lui enseigne ce qu’il doit vouloir pour ajuster correctement les moyens aux fins :

La raison des femmes est une raison pratique qui leur fait trouver très habilement les moyens d’arriver à une fin connue mais qui ne leur fait pas pas trouver cette fin. La relation sociale des sexes est admirable. De cette société résulte une personne morale dont la femme est l’œil et l’homme le bras, mais avec une telle dépendance l’une de l’autre que ces de l’homme que la femme apprend ce qu’il faut voir, et de la femme que l’homme apprend ce qu’il faut faire. (…) Chacun obéit et toutes deux sont les maîtres.

Retrouve ici la même dialectique que dans la parade amoureuse : la femme imagine des tâches à accomplir et l’homme agit. L’une gouverne en proposant des objectifs, l’autre ratifie et donne branle à l’action. Mais ces deux fonctions ne se juxtaposent pas simplement ; elle s’entremêle en une relation chiasmatique. Car l’action volontaire qui donne unité et une cohérence à la politique commune du couple s’ordonne nécessairement à des principes qui fixent les fins de l’homme. Mais en retour, ces faces réfléchissent dans leur et de la femme, non seulement pour y puiser la connaissance des moyens appropriés, mais aussi et d’abord pour y saisir un contenu. Le gouvernement féminin serait myope et frivole s’il ne trouvait pas son sens sa force dans la volonté de l’homme. Le souveraineté de l’homme serait sans contenu si les principes ne se réfléchissaient pas dans l’œil de la femme.

Mais là encore la femme posait un temps d’avance. C’est elle qui prend l’initiative de « pro-voquer » la volonté de l’homme et de lui suggérer des fins qui sont les siennes à travers les tâches les moyens qu’elle lui propose. Or elle ne peut le faire, sans énerver le ressort de la volonté masculine, qu’en se faisant discrète, pudique, en consentant n’être qu’une simple image comme l’été et le reste dans le lien amoureux ; mais et même moins qu’une image : un soupir uniquement consacré à faire résonner « la voix du chef » :

Il y a bien de la différence entre s’arroger le droit de commander, et de gouverner celui qui commande. L’empire de la femme est un empire de douceur, d’adresse et de complaisance, ces ordres sont des caresses ces menaces sont des pleurs. Elle doit régner dans la maison comme un ministre dans l’état en se faisant commander ce qu’elle veut faire. En ce sens il est constant que les meilleurs ménages sont ceux où la femme a le plus d’autorité mais quand elle méconnaît la voix du chef, il ne résulte de ce désordre que misère, scandale et déshonneur.

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LE LIVRE

 

>>>>>>>>>>>>SOURCE >>>>>>>>>>>>>>>

 

 

 

 

 

COPIEs

 

 

 

 


 

 

 

 

 

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EXTRAITs de TEXTEs 

 

 

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" Préface d'André CHARRAK" 

 

Frédéric Lefebre 

Proportion, finalité, affinité: la notion de rapport chez Rousseau

 

p 48

 

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  •  partie du texte en capture d'écran

..trouvé le 20.12.2019 en faisant via GOOGLE une recherche " couple chiasme"

 

>>>>>>>>>>>>>>>google>>>>>>>>>>>>>>>>

 

 

 

 

 

 

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 Nicolas Grimaldi  >>>>>>

… Le régime de l’imagination, qui constitue la loi du couple fournit un triple paradigme. Il permet d’abord d’interpréter l’émergence de la volonté générale comme la vocation populaire provoquée par la figure éminemment féminine du législateur. Ensuite, le couple, entendu comme personne morale, figure ce que devrait être le lien entre le gouvernement et la souveraineté, suggérant au passage… que le despotisme, c’est-à-dire l’usurpation du législatif par l’exécuter, trouve sa source dans « les féminisations des mœurs ». Enfin et surtout la relation amoureuse, fondée sur une imagination réglée, présente l’image d’une union politique fondée sur le principe de la juste distance qui permettrait à chaque citoyen de se soumettre à la loi de la communauté nationale tout en restant lui-même.

 

 

 

                                                                

 

 

 

 

 

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