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par Coco

publié le 21 novembre 2022 à 9h40
 

Lundi 21 novembre

COP27 : un embryon de «justice climatique» mais toujours le «tabou» des énergies fossiles

Après trente-six heures de rab, les quelque 200 pays réunis en Egypte ont fini par signer dans la nuit un accord minimaliste, réaffirmant l’objectif de limiter le réchauffement climatique à +1,5 °C mais échouant à se donner les armes pour y parvenir.

 

Vendredi 17 novembre

«Ne pas politiser le sport» : Macron «en même temps» hypocrite et à côté de la plaque

Au lieu d’avoir un message politique fort sur les droits humains et la protection de la planète à la veille de la Coupe du monde au Qatar, le chef de l’Etat balaie toute idée d’engagement des sportifs alors qu’il rêve de capitaliser sur une nouvelle victoire des Bleus.

 

Jeudi 16 novembre

Le «loser» Donald Trump annonce retenter sa chance en 2024

Défait par Joe Biden en 2020 puis fragilisé par la déconvenue du camp républicain lors des récentes élections de mi-mandat, l’ex-président de 76 ans a officialisé son entrée en campagne en vue de reconquérir la Maison Blanche dans deux ans.

Mercredi 15 novembre

Hanouna, porte-flingue assumé de Bolloré

Dans le pitoyable affrontement Boyard-Hanouna, sur la navrante chaîne C8, la litanie des insultes déversée par l’animateur sur un député, élu au suffrage universel, la pire, la seule insulte, en vérité, qui décrit parfaitement celui qui la profère, n’est pas «abruti, merdeux» ou tout autre anathème dégueulé par Cyril Hanouna. Hanouna, ce puits de vulgarité, fils de médecin qui se prend pour une voix du peuple, s’est défini lui-même, lors de cet échange, par d’autres mots, au premier abord moins insultants. Une phrase qui répondait à la tentative du député LFI Louis Boyard de parler des méfaits de Vincent Bolloré en Afrique. Dès que le député (ancien chroniqueur de l’émission) a prononcé le nom de Bolloré, un déluge d’insultes s’est abattu sur lui, moins pour l’accabler que pour étouffer le blasphème en direct : «Moi je ne crache pas dans la main qui m’a nourri et toi tu ne devrais pas cracher dans la main qui t’a nourri», a fini par dire Cyril Hanouna. Voilà une phrase de mafieux, d’affidé dépendant, de prévaricateur.