• 4. Visite de l'exposition EGON SCHIELE Vienne 2017 .....Femmes posant cuisses écartées, autoportraits maquillés, adolescentes lascives, scènes d’amour lesbien et de masturbation… l’œuvre d’Egon Schiele dessine d’un trait délicat toute la culture underground de la Vienne d’avant-guerre.  
  • 3. Le fondateur de Terra Nova tombe pour pédophilie, la presse française muette
  • 2. Ségolène et Castro : une simple histoire de sexisme...
  • 1. Alain Soral n'y va pas par quatre chemins, pour lui nous sommes dans le royaume de Satan. A-t-il raison ? Les prophéties bibliques ont-elles vu juste ?

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Visite de l'exposition EGON SCHIELE Vienne 2017

LE MONDE |

 

Eclairage

Femmes posant cuisses écartées, autoportraits maquillés, adolescentes lascives, scènes d’amour lesbien et de masturbation… l’œuvre d’Egon Schiele dessine d’un trait délicat toute la culture underground de la Vienne d’avant-guerre.

Le palais Albertina de Vienne rassemble la plus grande rétrospective jamais vue de ses dessins, gouaches et aquarelles — retraçant sa carrière fulgurante qui ne dura que dix ans, car Schiele meurt à 28 ans en 1918.

En dix minutes, le critique d’art Hector Obalk, auteur de la série documentaire « Grand’Art » sur Arte, d’Aimer Voir (Hazan), et de Michel-Ange, la première critique d’art en bande dessinée (Hazan), vous fait découvrir en détails plus de 20 œuvres de cette exposition historique.

 

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Le fondateur de Terra Nova tombe pour pédophilie, la presse française muette

Ecrivain, musicienne, plasticienne

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On enterre, aujourd’hui, François Chérèque, ex-patron de la CFDT et président de la « fondation progressiste » Terra Nova. Coïncidence de l’actualité, Christophe Bejach, l’un des fondateurs et ancien vice-président de cette boîte à idées du Parti socialiste, vient de tomber, à Londres, pour pédophilie. Faut-il, alors, imaginer que c’est pour ne pas troubler ce moment de deuil et de recueillement que tous les médias officiels français n’en ont touché mot ?

Christophe Bejach, 53 ans, est ce que l’on appelle une pointure (et peut-être, aussi, un « pointeur », comme on dit dans certains quartiers de Fresnes et d’ailleurs). Sa bio sur Terra Nova nous explique, en effet, que ce brillant « ingénieur et titulaire d’un MBA du Groupe HEC (ISA) a effectué une carrière orientée vers l’investissement dans des entreprises cotées ou non cotées, en France, aux USA et en Asie ». En 2012, il rejoignait l’équipe d’Arnaud Montebourg, devenu ministre du Redressement productif, en tant que conseiller sur l’Aérospatial, la Défense et l’Énergie. Mais surtout productif pour lui-même, Christophe Bejach s’est essentiellement fait connaître comme créateur de la société L’Avion, revendue à British Airways pour 68 millions d’euros.

Ce strauss-kahnien « historique » ne partageait pas, avec son mentor, que des idées. Il semblerait qu’ils avaient aussi en commun quelques connections obsessionnelles entre le cerveau et le pantalon, mais si Strauss-Kahn s’en prenait à des femmes adultes, M. Bejach montrerait quant à lui une nette préférence pour les fillettes.

En témoigne sa condamnation, le 14 décembre dernier, par un tribunal britannique à « 9 mois de prison avec sursis pendant deux ans pour un premier chef d’accusation d’offense sexuelle sur enfant mineure et trois autres chefs d’accusation pour possession de photographies d’enfants indécentes ».

Christophe Bejach s’est fait pincer par un agent de police en civil, Sadie, qui s’est fait passer pour la mère de trois fillettes de 8, 10 et 12 ans sur lesquelles il avait jeté son dévolu. Ayant acheté sur Amazon « un stock de petites lingeries pour faire des photos de nus érotiques », Bejach a « décrit ses fantasmes sexuels à Sadie, la présumée mère des filles, qui malheureusement pour lui était en fait officier de police travaillant à la surveillance de la cyber-pédophilie ». Interrogé par le tribunal pour savoir « s’il avait eu quelques intentions d’avoir des rapports sexuels avec les filles avant le rendez-vous de l’hôtel Cumberland, Bejach a répondu “Avant d’avoir eu ces pensées : oui” », rapportent le Daily Mail et l’Evening Standard. Outre ces faits, on a également trouvé dans l’ordinateur de ce brillant homme d’affaires des dizaines de photos à caractère pédophile, dont certaines de catégorie A, c’est-à-dire « dépeignant l’activité sexuelle pénétrante ».

Ayant réussi à éviter la prison, Christophe Bejach devra signer « le Registre des délinquants sexuels pendant dix ans, son ordinateur a été confisqué [ndlr : pour les photos] et il devra payer £1,200 de frais de tribunaux. Il a préalablement payé une caution de £100,000 à la Cour et remis son passeport aux autorités », écrit la presse britannique.

Voilà pour les faits. Maintenant, la question qui fâche : qui, en France, a parlé de cette histoire ? Qui a écrit une ligne sur le sujet ? Aucun des médias officiels : pas un mot en radio, pas un mot sur les chaînes d’info, pas un mot dans la presse. Les seuls à l’avoir évoquée sont ceux qu’on range commodément dans la « fachosphère » : Fdesouche, Le Salon beige et TV Libertés et, dans un autre genre, le site Au féminin, qui recense les affaires de pédophilie.

Pourquoi ce silence ? Est-ce pour ne pas « gêner » les primaires de la gauche, ne pas ternir par ricochet le soleil d’Arnaud Montebourg, épargner Terra Nova, ne pas plomber davantage un Parti socialiste moribond ? Ou bien parce qu’un Strauss-Kahn + un Bejach, c’est plus qu’on n’en peut supporter de la part de cette classe politique pourrie ?

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Ségolène et Castro : une simple histoire de sexisme…

Ségolène Royal n’est pas du genre à battre sa coulpe. Elle vient de donner le fin mot de cette triste affaire : elle a été victime de sexisme.

Ecrivain, journaliste <<<<<<<<<<<<BV<<<<<<<<<<<<<<<

 

 On se souvient de l’éloge de Fidel Castro par Ségolène Royal au moment des obsèques du brave patriarche : celle-ci avait salué « un monument de l’Histoire », ajoutant que « grâce à Castro, les Cubains [avaient] récupéré leur territoire, leur vie, leur destin. Ils [s’étaient] inspirés de la Révolution française sans pour autant connaître la terreur. » Selon elle, Cuba n’était pas une « dictature », eu égard à son nombre de touristes, rajoutant qu’il fallait « savoir regarder les choses positivement » et lançant, bravache : « Eh bien, fournissez-moi des listes de prisonniers politiques ! »

Le tollé était assez prévisible et s’étendit, d’ailleurs, jusqu’à la gauche, Jack Lang (notamment) se demandant si elle n’avait pas « bu un peu trop de rhum en arrivant à La Havane ». On fournit obligeamment à la dame la liste dont elle s’était enquise. Celle-ci se trouva être, sans grande surprise, longue comme le bras. Et même comme les deux bras. Sans être pour autant exhaustive.

Mais Ségolène Royal n’est pas du genre à battre sa coulpe. Elle contre-attaque. Revenant sur cette polémique dans l’émission « Et si c’était vous ? », elle vient de donner le fin mot de cette triste affaire : elle a été victime de sexisme.

Il y a eu « cette résurgence de la contestation de l’évaluation historique qu’une femme a droit ou pas le droit de faire même avec [son] background et son expérience politique ».

Et peu importe, sans doute, si parmi ceux qui, éberlués, avaient pris leurs distances, se trouvait aussi une femme – la socialiste Juliette Méadel, secrétaire d’État chargée de l’Aide aux victimes. Les collabos, les judas, les renégats, les apostats, les syndromes de Stockholm, ça n’existe pas, peut-être ?

Dire que je n’y ai même pas pensé alors que c’était si pratique. Que durant mes longues années au lycée, j’ai laissé avec résignation tous ces profs, dans mes copies, « contester », à grands traits de Bic rouge, mon « évaluation historique ». Ou bien mathématique, d’ailleurs. Avec le « background » que j’avais (brevet avec mention, s’il vous plaît)… Salauds de machos, va !

La vérité est que la seule sexiste, ici, est Ségolène Royal, qui instrumentalise son « genre » pour en faire un joker, qui se réfugie dans les jupons de sa féminité pour s’exonérer de ses responsabilités, dévoyant sans vergogne le féminisme jusqu’à l’absurde : si dénoncer l’erreur d’une femme est du sexisme, il faut donc adhérer à l’assertion que, par nature, celle-ci a toujours raison ? Ségolène Royal aurait-elle perdu un boulon ? C’est très tentant, mes sœurs, je vous l’accorde, mais c’est parfaitement délirant. Nous gambadons gaiement vers une fémictature à côté de laquelle le régime de Castro fera, en effet, figure d’eldorado.

Dans son livre, Castro l’infidèle, Serge Raffy décrit un tyran domestique doublé d’un misogyne sans nom. Et dire que critiquer son régime est devenu une preuve de sexisme. J’en connais un qui doit rigoler dans sa tombe.

 

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Alain Soral n'y va pas par quatre chemins, pour lui nous sommes dans le royaume de Satan. A-t-il raison ? Les prophéties bibliques ont-elles vu juste ?

 Voici une compilation d'extraits de ses vidéos (dont la dernière issue de cette émission radio) concernant le satanisme élitiste, véritable cancer de nos sociétés. On y retrouve notamment l'extrait d'une émission où BHL faisait l'éloge de Lucifer/Satan en déclarant : "Satan c'est Lucifer, Satan, c'est le porteur de lumière, Satan c'est celui qui a donné aux hommes les arts et les lettres que Dieu avait enfermé sous 7 sceaux, et donc Satan c'est l'intelligence, la clairvoyance, c'est la pénétration" (il ne croit pas si bien dire le Bernard-Henry Botul).

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